Le Programme alimentaire mondial (PAM), une agence de l’ONU, a suspendu ses opérations humanitaires à Gaza après des tirs des forces israéliennes contre l'un de ses véhicules. Israël devrait protéger les travailleurs humanitaires, et non les mettre en danger.

Deux ans après le rapport de l’ONU sur le Xinjiang, les abus continuent dans cette région chinoise. Les pays membres de l’ONU devraient renforcer la pression sur le gouvernement chinois pour qu’il mette fin aux graves abus infligés aux Ouïghours.

Un an après la publication d’un rapport accablant des Nations Unies faisant état de possibles crimes contre l'humanité contre les Ouïghours (minorité musulmane) au Xinjiang, les abus continuent.

Face aux violations des droit humains commises par la Russie, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU devrait créer un mandat de Rapporteur spécial sur la situation des droits dans ce pays.

(Sous-titres via cc) – Toutes les parties au conflit armé au Yémen continuent de commettre des crimes de guerre en toute impunité. Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU devrait renouveler le mandat des experts chargés d'enquêter sur ces violations.

(VIDÉO, sous-titres via cc) – Témoignages concernant l’intoxication au plomb dans des camps gères par l’ONU au Kosovo, recueillis par HRW qui appelle à une indemnisation adéquate des victimes.

À l’occasion de la publication du Rapport mondial 2017 de HRW, Kenneth Roth, directeur exécutif, souligne les menaces que représente pour les droits humains l’inquiétante montée du populisme – caractérisé par des tendances xénophobes, racistes et autoritaires – aux États-Unis, en Europe et ailleurs.

La vague de bombardements menés par les forces russes et syriennes à Alep depuis septembre 2016 a fait des centaines de victimes, dont de nombreux enfants. Il faut d'urgence acheminer de l'aide humanitaire aux civils se trouvant encore dans cette ville partiellement détruite.

Alors que la coalition dirigée par l’Arabie saoudite continue de mener des bombardements meurtriers au Yémen, HRW appelle à la suspension de l’Arabie saoudite en tant que membre du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, étant donné que certaines frappes aériennes sont susceptibles de constituer des crimes de guerre.